Le projet Vous, nous, une seule histoire touche à sa fin.
Le projet Vous, nous, une seule histoire a été lancé le 26/02/2015 pour le Salon du Livre de Paris 2015. L’objectif, déterminer quelques ingrédients de l’écriture collaborative dans un monde où le travail communautaire s’est démocratisé. Plus précisément, nous avons souhaité évaluer la possibilité de réaliser une œuvre de A à Z grâce aux compétences de la communauté pour rédiger, corriger, relire réaliser la couverture.
La collaboration dans l’écriture d’une œuvre littéraire est complexe puisqu’elle touche à quelque chose de personnel, le style de l’auteur.
Un excellent Noël à toutes et tous. Qu'il vous soit chaleureux, débordant de rêves et de joies. En cadeau, nous vous proposons quelques lignes pour parler d'un auteur Co-libr-e fraîchement publié.
C'était dimanche dernier. Nous avons eu le plaisir de rencontrer un auteur Co-libr-e, publié en Août aux éditions 7 écrit pour son roman : A défaut de vivre. Sur le retour d’une séance de dédicaces dans la ville de Châteaudun, Ayin’n Jinn nous a accordé quelques instants pour découvrir un peu son monde autour d’un café.
Le natif de Metz, sac de couchage sur le dos nous a rejoint dans un café aux abords de la gare Montparnasse, là où tant d’histoires s’écrivent.
Le Prix Nouveau Talent décerné par la Fondation Bouygues Telecom a été révélé hier soir dans les locaux de la Société des Gens de Lettres. Clélie Avit et son roman « Je suis là » ont reçu les applaudissements de l’ensemble des invités. Et Co-libr-e était là !
Comme le 27/09, nous vous délivrons une nouvelle partie de notre interview de l’auteur Charles Dellestable, le gagnant du Prix Nouveau Talent 2013 et édité par la maison d’édition JC Lattès.
Notre quatrième question à Charles :
Avez-vous déjà pris des cours d’écriture ? Dans des ateliers ? Grâce à des rencontres avec des écrivains ?
Retrouvez une réponse surprenante accompagné d’un texte inédit de l’auteur.
Hasard… quand tu donnes un sens à nos vies, Dieu que nous t’aimons !!!
Comme le 21/09, nous vous délivrons une nouvelle partie de notre interview de l’auteur Charles Dellestable, le gagnant du Prix Nouveau Talent 2013 et édité par la maison d’édition JC Lattès.
Notre troisième question à Charles :
Qu’est-ce qui vous pose le plus de problèmes lorsque vous écrivez ?
C’est notre première interview d’un auteur et c’est au final un petit recueil de nouvelles que Charles nous a conté. Poétique, décoratif, parfois paisible parfois agité, toujours passionné… La lecture de ses réponses nécessite de se mettre dans des conditions appropriées à la délectation des mots et des sentiments. Pour y succomber pleinement… et pour y obtenir des conseils de l’auteur.
Nous ne multiplierons pas les interviews. Mais nous essaierons de temps en temps de vous faire pénétrer l’espace secret des pensées de certains écrivains.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Charles Dellestable est le gagnant du Prix Nouveau Talent 2013 organisé par la Fondation Bouygues Telecom. Son roman qui a séduit la maison d’édition JC Lattès : Paradis 05-40.
Notre première question à Charles :
On dit souvent qu’il faut se créer son univers et s’y plonger afin de pouvoir écrire. Pour le fondateur de Co-libr-e, c’est dans un café de la butte Montmartre, car à la maison, cela lui est impossible. Avez-vous un lieu de prédilection, un rituel pour écrire ?
Cela paraît peut-être logique pour certains, mais beaucoup de mots que nous utilisons aujourd’hui datent de milliers d’années.
Ils ont tous évolué mais pas tous à la même vitesse.
Le Professeur Mark Pagel de l’université de Reading en Grande-Bretagne a publié le 13 Mai 2013 dans la revue américaine PNAS (pour Proceedings of the National Academy of Sciences) ses travaux sur la conservation des mots au cours du temps. Retrouvez le détail, en anglais J sur http://www.pnas.org/content/early/2013/05/01/1218726110.full.pdf+html.
Son étude a démontré que les mots les plus utilisés dans la vie quotidienne étaient les mieux conservés dans le temps.
Il n’y a bien plus qu’à l’école que nous lisons les romans classiques si nous en croyons les statistiques des meilleures ventes.
Je dois concéder qu’un Musso, Levy, Coben, James… me tend plus facilement les bras lorsque j’ai un moment pour me détendre.
J’ai pourtant décidé de me réconcilier avec l’écriture classique dont l’école m’avait laissé un petit goût amer.
Hier, j’ai terminé « Viou », de Henri Troyat.
Henri Troyat a tout simplement fait d’une situation somme toute banale, un flot de sentiments et d’humanité. La campagne, une petite fille, ses questions, ses grands-parents, sa maman… et…
A lire…
Combien d’entre nous peuvent prétendre être au niveau du Dr Lightman (série Lie to me) pour déceler les mensonges, les sentiments d’une personne ?
Mieux qu’un livre ouvert, un psychologue américain a démontré dans la revue Science que lire des romans régulièrement aidait à mieux comprendre et appréhender les émotions d’autrui.
L’étude montre aujourd’hui que la lecture de romans apporte une faculté de compréhension d’autrui plus aiguisée.
Pourquoi certains d’entre nous parviennent à créer des œuvres incroyables ? Comment se crée une nouveauté dans l’esprit d’un artiste, d’un scientifique ?
Cette capacité de création, imagination qui nous différencie des animaux trouve son origine dans le cerveau humain.
Des scientifiques de l’université de Darthmouth ont démontré, dans leurs travaux publiés dans la revue PNAS, l’activation de certaines zones du cerveau lors de phases d’imagination.
Pour séduire un éditeur, il faut plusieurs ingrédients.
L’un des plus importants est de l’attirer dans votre monde dès la première page de votre roman.
Bien entendu, lorsque nous parlons de première page, ce sont les cinq à dix premières pages.
Un conseil, testez avec des proches à l’esprit critique.
Combien d’entre nous passent aujourd’hui du temps dans le silence, le calme, à ne rien faire ? Peu.
Dans un monde qui va à 100 à l’heure, où le temps est de l’argent, où notre téléphone mobile nous accompagne à chaque minute, nous ne prenons que peu le temps de se laisser aller à l’imagination, à la création.
Pour contrer ces événements qui captent notre attention à mauvais escient, des psychologues de l’université du Kansas ont mené une expérience sur la Théorie de la Restauration de l’Attention.
Le résultat montre qu’après une randonnée en pleine nature, l’activité du cortex préfrontal médian est plus importante qu’avant. Le cerveau est donc plus libre de s’évader lorsqu’il n’est pas troublé par la sonnerie d’un SMS, le Push d’un email…
En marge du Salon du Livre, nous avons eu le plaisir de rencontrer l’écrivain Bruno Tessarech. Loin des files d’attente de promotion et signature d’autographes, l’homme de 66 ans accueille les écrivains en herbe sans détour et plein d’entrain.
La Fondation Bouygues Telecom, les éditions JC Lattès et le quotidien Metronews, lancent leur 8ème appel à manuscrits pour le Prix Nouveau Talent.
Avec ce prix littéraire, la Fondation Bouygues Telecom offre chaque année à un écrivain en herbe, l’opportunité d’être édité, lu et reconnu.
Le roman lauréat de ce concours d'écriture sera publié par les éditions JC Lattès, bénéficiera d'un plan de promotion dans le journal Metronews et son auteur recevra une dotation de 10 000€ de la Fondation Bouygues Telecom.
Né en Espagne à Cordoue vers l’an 4 avant JC, Sénèque est couramment nommé Sénèque le philosophe (pour le différencier de Sénèque l’Ancien, son père).
Il est jeune quand sa famille arrive à Rome. Il y suit une éducation convenable.
Sa vie est partagée entre ses écrits philosophiques et ses activités de conseiller politique.
Ses écrits laisseront une empreinte sur la philosophie du stoïcisme, tandis que son poste de conseiller à la cour impériale le mènera au suicide.
Des neurologues de l’université de l’Oregon, US ont démontré que le cerveau est capable de détecter les erreurs de grammaire sans que nous en soyons conscients.
Encore faut-il un jour avoir connu les règles grammaticales de la langue…
L’objet de l’étude a consisté à exposer des volontaires à des phrases dont certaines contenaient des erreurs de grammaires.
Nous connaissons principalement Stendhal par ses écrits « Le Rouge et le Noir » et « La chartreuse de Parme ». Qui n’a pas étudié l’une de ces œuvres à l’école !
Comme pour beaucoup d’écrivains, la vie de Stendhal n’a pas été sans peine. Orphelin de sa mère à 7 ans, il souffre d’un père et d’un grand-père incarnant la bourgeoisie qu’il hait. Il s’attachera à mener sa vie à l’opposé de cette aristocratie. Et la majorité de ses écrits laisseront une trace de son aversion.
Il rejoint à 13 ans l’Ecole Centrale de Grenoble où il pratique avec passion les mathématiques. Une discipline qui ne laisse pas de place au vague et à l’hypocrisie.
Il obtient ensuite un poste au ministère de la Guerre, à Paris, grâce à son cousin Pierre Daru. Une opportunité qu’il se serait bien gardé d’accepter tant elle ne lui correspondait pas. Mais à 17 ans, tout change…
Nous savions déjà que lire une belle histoire provoquait un sentiment de bien-être chez le lecteur. Des chercheurs de l’université Emory basée à Atlanta, US sont allés plus loin afin d’identifier les changements provoqués dans le cerveau après la lecture d’un roman.
Ils ont détecté la persistance de l’effet de la lecture dans le cerveau à l’état de repos. Par un procédé d’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (fMRI), les chercheurs ont identifié le réseau neuronal sollicité après la lecture.
Des études ont déjà permis d’observer les impacts sur le cerveau pendant la lecture. Cette nouvelle étude permet d’observer les impacts sur le cerveau après la lecture…